RDC: Colonel Alain Alisa Job Officier Supérieur de la PNC Universitaire et Bâtisseur d’Avenir
Dans un contexte où la République Démocratique du Congo fait face à de nombreux défis sécuritaires et sociaux, le Colonel Alain Alisa Job se distingue comme une figure d’exception. Officier supérieur de la Police Nationale Congolaise (PNC), professeur d’université, docteur en didactique des disciplines, spécialiste en gouvernance électorale et en sécurité, il est aussi un stratège diplômé en défense et sécurité. Plus qu’un homme de terrain, il est un visionnaire et un bâtisseur qui a marqué la RDC, en particulier la ville de Goma, par ses réalisations notables.
Un expert en gouvernance électorale et en sécurité
Le Colonel Alain Alisa Job ne se limite pas aux interventions sécuritaires ; il est aussi un intellectuel de haut niveau. Son expertise fait de lui une référence dans la formation des élites congolaises, et il intervient dans plusieurs universités du pays.
Actuellement doctorant en criminologie, il mène des recherches approfondies sur le crime organisé, le terrorisme et les stratégies de stabilisation, des enjeux cruciaux pour la RDC. Sa rigueur scientifique lui permet d’apporter une approche stratégique et réfléchie aux questions de sécurité nationale.
Un stratège formé dans des meilleures écoles
En plus de son rôle d’universitaire et de chercheur, le Colonel Job est un spécialiste en stratégie et défense. Diplômé en stratégie et défense, il est également auditeur à l’École doctorale du Collège des Hautes Études de Stratégie et de Défense (CHESD), où il approfondit ses recherches en stratégie, défense et sécurité. Cette combinaison entre théorie et pratique fait de lui un officier d’exception, capable de traduire les grandes orientations stratégiques en actions concrètes sur le terrain.
Un bâtisseur et un créateur d’emplois pour la jeunesse
En plus de son engagement dans la sécurité et l’enseignement, le Colonel Job est un entrepreneur social, soucieux de l’avenir des jeunes congolais. Il est l’initiateur de l’Université des Martyrs du Congo (UNIM), une institution d’enseignement supérieur qui apporte une formation de qualité à la jeunesse congolaise.
Afin d’assurer un lien direct entre la formation et le monde professionnel, il a également mis en place une école d’application, l’École d’Application de l’Université des Martyrs du Congo (EDAP-UNIM), où les étudiants acquièrent des compétences pratiques adaptées aux réalités du terrain.
Par ailleurs, avec son établissement Congo Job Security, il a permis la création de plusieurs emplois pour les jeunes congolais, les intégrant dans le secteur de la sécurité et leur offrant des perspectives d’avenir. Grâce à ses initiatives, des centaines de jeunes ont pu trouver un emploi et participer activement au développement du pays.
Un officier d’action et de résultats
Le Colonel Alain Alisa Job n’est pas seulement un penseur ; il est un homme d’action. Ses réalisations en témoignent :
Construction de plusieurs bureaux de police à Goma, notamment à la mairie et au Camp Mzee. Neutralisation d’une rébellion en 2016, qui avait attaqué l’aéroport international de Goma.
Imposition de l’autorité de l’État dans la ville de Goma, rétablissant l’ordre et la discipline.
Prise en charge des orphelins et rescapés des ADF-NALU, leur garantissant un avenir par l’éducation.
Soutien à plus de 1 500 enfants de militaires pour accéder à l’enseignement secondaire et universitaire.
Création de plus de 1 000 emplois à travers ses initiatives éducatives et entrepreneuriales.
Un officier modèle, un scientifique engagé, un patriote indéfectible
Comme tout homme, le Colonel Alain Alisa Job peut avoir des imperfections, mais il est loin d’être un criminel. Ses qualités, son dévouement et son engagement font de lui un modèle pour la jeunesse congolaise. Ceux qui s’attaquent à lui ne peuvent effacer son savoir-faire, son dynamisme, son courage et sa détermination.
L’histoire retiendra que cet officier supérieur, scientifique et patriote a œuvré pour la sécurité, l’éducation et le développement de la RDC. Au lieu de céder aux manipulations, il est temps de reconnaître ses réalisations et de soutenir ceux qui, comme lui, construisent un Congo plus fort et plus stable.
Rédaction