Mines/RDC: Des politiciens véreux bloquent les multiples efforts du DG Yannick Sosongo visant la relance de la production chez Kisenge Manganèse

Dès les premiers jours de sa prise des fonctions à la tête de la société commerciale la Minière de Kisenge Manganèse, le Directeur Général Yannick Sosongo a fait preuve d’une volonté manifeste de relancer la production du manganèse et de l’or dans les concessions de cette entreprise publique. Ses multiples efforts ont ravivé l’espoir des travailleurs actifs et des retraités comptant
plus de 200 mois d’arriérés. Malgré les résultats palpables de multiples actions de ce Mandataire public au sein de la SCMK-Mn SA, ses détracteurs ne décolèrent pas. Ils s’opposent, sans vergogne, à toutes ses initiatives dans le seul but d’obtenir son départ de la tête de cette entreprise publique. C’est ainsi qu’ils distillent des mensonges concernant certains actes dont la clarté et la transparence ne posent aucun souci. Des politiciens véreux vivant au Grand Katanga pour les uns et à Kinshasa pour d’autres militent pour obtenir le départ du Directeur Général Yannick Sosongo, regrette un dignitaire de Lubumbashi ayant requis l’anonymat. Et pour y arriver plusieurs mécanismes ont été mis en jeu entre autres :mettre des bâtons dans les roues, bloquer toutes ses actions pour le faire échouer puisque touchant à leurs intérêts mesquins. Et comme conséquence les travailleurs actifs et les retraités de la société Commerciale la Minière de Kisenge Manganèse payent le pot cassé du blocage de tous les efforts visant la relance de la production que le Directeur Général Yannick Sosongo a fournis dès les premières heures de sa nomination. Voici les vérités ignorées ou passées outre par les détracteurs du DG Yannick Sosongo en ce qui concerne certains protocoles d’accord, contrats signés sous le leadership visionnaire celui que le Chef de l’État a nommé pour la relance de la SCMK-Mn SA.

Concernant l’Accord avec Taurian Manganèse de Kisenge, l’opinion doit savoir que la SCMK-Mn SA détient 25%, l’Etat congolais 10%, Taurian 57% et 3 citoyens congolais sont propriétaires de 8% du capital de cette joint-venture. La signature de cet Accord a respecté toute la procédure requise pour être signé avec l’autorisation de l’Etat propriétaire. Pour toute Assemblée générale de cette société minière, le Gouvernement congolais est représenté par le Ministre du portefeuille, le Premier Ministre, le Ministre des Mines et le Ministre du Budget. D’ailleurs, quatre potentiels partenaires avaient concouru au recrutement sanctionné par la signature du protocole avec Taurian. Il s’agit entre autres deTaurian Manganèse de Kisenge qui a satisfait aux critères, SHAZE TARELLI LIMITED, Asia Mineral Limited, et Africa Finance Corporation.

Pendant ce processus de sélection, les quatre potentiels partenaires avaient été évalués sur trois critères, à savoir la compétence technique, la capacité financière et la responsabilité sociale. Après examen au Conseil d’Administration et délibérations de l’Assemblée Générale de la SCMK-Mn SA, seul Taurian Manganèse avait prouvé et répondu aux trois critères prédéfinis. Partant, le protocole d’accord a été signé entre les deux parties et la joint-venture a pris place, sous label d’une nouvelle société commerciale conformément aux normes en vigueur. Quant aux 99 ans, la durée d’un Accord est consécutive à la durée de validité du Permis d’exploitation en jeu soit 25 ans (cfr Code minier). Les 99 ans interprétés à tort par les détracteurs du Directeur Général Yannick Sosongo font allusion à la durée de la Joint-Venture (société anonyme avec conseil d’Administration) créée après la signature de l’Accord. Ceci n’a rien à voir avec l’Accord car répondant aux textes régissant les sociétés commerciales dont le DG de la SCMK-Mn n’y est pour rien.

Pour ce qui concerne les 5 millions, il appartient à l’accusateur de le prouver. La SCMK-Mn n’a reçu que quelques fonds de son partenaire Taurian Manganèse . Ce qui a permis au Comité de Gestion de payer 11 mois de salaires aux employés de la société, aux mandataires et aux RETRAITES mais aussi de contribuer considérablement au budget de l’Etat de 2023 à nos jours; sans compter, bien évidemment, la participation de cette entreprise publique aux efforts de guerre et les moyens alloués au fonctionnement.
Il faut noter que la dette sociale de la SCMK-Mn SA s’élève à 36 millions de dollars américains et que les retraités veulent être indemnisés tout de suite alors qu’ils accusent un impayement salarial de plus de 230 mois (dette que l’actuel comité de gestion a trouvée et se prépare à éponger progressivement une fois la production aura repris). «Où est-ce que le nouveau Comité de gestion trouvera ce montant pour s’acquitter de cette obligation tout de suite ?», s’interroge un observateur indépendant vivant à Kolwezi.

Quant à l’octroi de 6 Permis aurifères à la société TSM également mis en cause par les ennemis de la République, c’est un mensonge pur et simple pour une double raison. Premièrement, la SCMK-Mn SA ne possède aucun Permis aurifère et
deuxièmement, elle n’a pas de contrat avec la société TSM. Par contre, la SCMK-Mn avait un Protocole d’Accord de prospection avec la société TSM qui n’a duré qu’une année et qui avait pris fin en Septembre 2024.

En ce qui concerne la photo mettant en évidence la signature du DG Yannick Sosongo pour le compte de la SCMK-Mn SA et celle de Monsieur FENG YUHUANG pour le Compte de Amani Mining Company, et le Protocole d’Accord de recherche signé entre les deux parties pour valoriser le Permis de recherche numéro 6226 situé dans le territoire de Sandoa a respecté aussi toutes les conditions d’autorisation avant sa signature.

La Rédaction

Vous aimerez aussi...

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *